G'adore tt simplement cette image......

Les couleurs sont trop harmonieuses et en plus c vraiment le genre de canapé que g'aimerais avoir.............

YUK YUK YUKY MUSE !

 Impression de déjà vu ?

C normal.

Il y a eu tout de même quelques modifications. L'image est un peu plus net car g l'ai arrangée. Mais surtout il manque un personnage.... que g soigneusement et avec délectation enlevé... yuk ! yuk ! yuk ! (rire sadique..! ). Maintenant on peut dire qu'il y a sur la photo que des amis sur qui g peut compter... et oui !

mon grand-père est mort dimanche soir et on l'a enterré mercredi matin à 9h dans le cimetière de Lévignac de Guyenne.

J'aimais beaucoup mon papy car il représente pour moi toute mon enfance. L'époque où je restais 2 à 3 semaines chez papy et mamie. J'adorais aller là-bas.  C'est dans le sud et donc j'étais toujours dehors et pieds-nus.  Les pieds nus c'est très important car ça montre que j'étais en vacances et une petite fille de la campagne. Un petit retour au source en somme. On allait, mamie et moi dans le jardin tôt le matin pour arroser toutes ses fleurs et ramasser les légumes que l'on allait manger dans la journée. Il y avait des aspèrges, des haricots, des tomates et aussi plein de fruits. Avec mon papy on préparait les haricot à la table du jardin juste devant la porte. Il me racontait des tonnes d'histoire de sa vie (car il radotait un chouia) et certaines qu'il inventait. Je l'écoutais toujours très attentivement. C'est histoire de militaire m'impressionnais. On pouvais parler de chats au début et puis dériver aux avions dans une même conversation.

Bon je m'arrête là mais je continuerai ce texte.

On a tjrs peur de qq chose sans arrêt.Parfois des autres, de soi ou de petites choses insignifiantes ou de gds bouleversements ou de la vie ou de la mort ou de rêves.... Cette liste est infinie...

J'ai peur. J'ai continuellement peur.

Je n'ose pas faire ni dire et même penser des choses par peur. Peur de paraître trop moi-même. Que l'image que les autres me renvoint ne me plaise pas. Peur de pas être satisfaite de moi, peur de ne pas me connaitre. Peur d'avoir peur.

Et là encore ce n'est que l'une des chaînes de Ma peur. Nous en traînons tous une, indisociable de nous. En fait c'est elle qui nous définit. Baudelaire l'exprime si bien dans ses poèmes Spleen. Mais g trouve que ce mot n'est pas spécialment le plus prêt de la vérité. Car la plus part du tps on arrive à vivre avec cette peur sur les épaules il n'y a que qq fois où épuisé on s'écroule. Ce serait plutôt un sac. Un sac car Notre peur est l'addition d'une infinité de peurs,le sac les contient ttes et n'en forme plus qu'une. De plus il nous pèse tte la journé sur les épaules de tps en tps on arrive à s'en décharger un peu par divers moyens. Le sport, le théatre, les trips avc les amis, l'amour (qd il réciproque et c rare), le rire, le dépassement de l'une d'elles permet aussi d'eclipsé un instant La peur par le bonheur d'avoir gagner une bataille (ms pas la guerre), la lecture aussi mais ts ces contournements sont personnels chacun a sa manière d'avoir moins peur.

Et c'est là que l'on se rend compte que tt ce qu'on fait c'est rechercher un moyen d'oublier Sa peur. Le but de notre vie c'est avoir moins peur, chaque chose que l'on fait est dans ce but mais paradoxalement tjrs freiné par La peur. Les découvertes sont un moyen de ne pas avoir peur de qq chose que l'on ne connait pas. L'art permet de l'exprimer et de l'exorciser. Le but de chaque chose sur terre c'est avoir moins peur. C'est une guerre menée depuis le commencement de la vie. Mais pour l'instant La Peur reste dominante. Car comme c'est nous qui avons peur on lutte contre soi-même. En fait nous sommes le complice et la victime de Notre peur.

Il ya des jours comme ça ou te réveille t'as trop la pêche (et l'abricot, yuk) et pourtant il suffit d'une remarque ou de se rendre comtpe qu'une pression ambiante t'écrase pr que cette énergie positive à priori devienne très négative. et surtout que tu peux pas t'en sortir qu'il faut que tu la supporte. Tu as pourtant envie de rire et de bouger mais tu reste cloué dans un mutisme ou une fatigue qui t'abrutie. Et après c'est incroyable mais t'as trop l'impression que tt le monde s'est donné le mot pr t'enfoncer le couteau ds la plaie. Tu intériorise car t'as pas envie d'avoir d'emmerdes mais tu sens une colère sourde qui monte et dont tu ne peux pas crever l'abcès car même si tu gueule il se reforme aussitôt. Et donc exténué d'avoir lutté tte la journée contre cette oppression tu finis par soit tt démolir de rage soit à pleurer. Mais ce ne sont pas des larmes qui te soulagent car en fait tu as tellement mal en toi au plus profond de toi que tu as envie de crier mais aucun son ne sort sauf un rale ou un couinnement plaintif et les larmes te restent cioncés dans la gorge. le problème est que c'est très dure de s'en débarasser de ce sentiment d'écrasement.

J'aimerais tant que la vie ne soit qu'un rêve dans ces mements là mais malheureusement on est bien obligé de tt affronté et de le subir et même essayer de faire mieux de faire un effort............