Il ya des jours comme ça ou te réveille t'as trop la pêche (et l'abricot, yuk) et pourtant il suffit d'une remarque ou de se rendre comtpe qu'une pression ambiante t'écrase pr que cette énergie positive à priori devienne très négative. et surtout que tu peux pas t'en sortir qu'il faut que tu la supporte. Tu as pourtant envie de rire et de bouger mais tu reste cloué dans un mutisme ou une fatigue qui t'abrutie. Et après c'est incroyable mais t'as trop l'impression que tt le monde s'est donné le mot pr t'enfoncer le couteau ds la plaie. Tu intériorise car t'as pas envie d'avoir d'emmerdes mais tu sens une colère sourde qui monte et dont tu ne peux pas crever l'abcès car même si tu gueule il se reforme aussitôt. Et donc exténué d'avoir lutté tte la journée contre cette oppression tu finis par soit tt démolir de rage soit à pleurer. Mais ce ne sont pas des larmes qui te soulagent car en fait tu as tellement mal en toi au plus profond de toi que tu as envie de crier mais aucun son ne sort sauf un rale ou un couinnement plaintif et les larmes te restent cioncés dans la gorge. le problème est que c'est très dure de s'en débarasser de ce sentiment d'écrasement.
J'aimerais tant que la vie ne soit qu'un rêve dans ces mements là mais malheureusement on est bien obligé de tt affronté et de le subir et même essayer de faire mieux de faire un effort............